Avril 2024 – La maison lce Pak – mcfardel.ch

Lance un produit révolutionnaire:
des galets du Valais refroidis au congélateur pour remplacer les traditionnels glaçons.
Les galets, réutilisables, offrent un rendement deux fois supérieur aux traditionnels glaçons,
ils peuvent être décorés à l’effigie d’une marque ou d’une société et peuvent être emportés
comme souvenir par les touristes.

Et ils sont pratiques pour les régions où l’eau manque ou n’est pas de bonne qualité.

Nous sommes à l’ère où c’est fini de fabriquer vos glaçons et de vous démener pour les garder au frais tant bien que mal !

A l’heure où l’on prône les solutions durables et écologiques dans l’industrie, la Maison Fardel lance un produit révolutionnaire: Les galets congelés que l’on aura plus qu’à mettre dans son verre pour refroidir sa boisson.

Que vous soyez restaurateur ou simple consommateur, ces galets seront un excellent complément des glaçons paillettes traditionnels (appropriés aux cocktails) : ils seront parfaits pour refroidir le whisky ou le rosé, par exemple, sans que de l’eau s’ajoute à la boisson et que le goût en soit altéré.

Cette création bénéficie déjà du soutien de deux labels de haute valeur

<Valais Qualité Certifiée »
« Swiss Made ».

Ces galets présentent deux atouts considérables

Ils peuvent être réutilisés indéfiniment, car ils sont lavables- dans une machine à laver les verres.

D’autre part, on peut y apposer un logo – en peinture alimentaire qui ne s’efface pas – à l’effigie de sa société, d’une marque ou pour mettre en avant un slogan publicitaire.

Remplacer les glaçons dans les régions qui manquent d’eau

Ces galets, pratiques et très simples d’utilisation, garantissant des conditions d’hygiène irréprochables. Ils ont en effet été nettoyés et purifiés, comme peut en attester l’analyse effectuée en laboratoire.
Le client n’a plus qu’à servir son « glaçon » personnalisé.

Un autre atout est encore à relever

Comme ce procédé permet d’obtenir l’équivalent d’un glaçon sans avoir besoin d’eau, il ouvre une nouvelle perspective de développement économique: la distribution des galets dans les régions sèches comme les pays du désert ou dans des contrées où l’eau est de mauvaise qualité.
<< Plusieurs destinations, dont Dubaï et New York, se montrent déjà intéressées», relève Gabriel Farde!, responsable du projet.

Un atout touristique rafraîchissant

En plus de leur fonction de refroidissement, ces galets décorés sont de véritables objets de collection qui raviront les touristes, qui pourront les conserver comme souvenir, ou encore les participants à  une manifestation lorsque que les galets sont frappés à l’effigie d’un festival, par exemple.

La présentation est en outre soignée, avec un emballage cadeau muni d’un QR code qui renseigne sur les galets ainsi qu’au sujet des autres produits de la maison, comme les glaces paillettes pour cocktails Premium conçu avec l’excellente eau de Martigny.

Les galets utilisés

Mesurant environ 3 centimètres de diamètre, sont collectés sur les berges du Rhône et dans le secteur de
Verbier Val de Bagnes, avant d’être traités.
Un séjour de 4 heures au congélateur suffit à les rendre opérationnels.

« Cela fonctionne un peu comme la pierre ollaire, mais de manière inversée», note Gabriel Farde!. »

« On fait du froid au lieu de faire du chaud avec ces galets que la nature nous offre, comme la vache fournit du lait, en distribution directe, du producteur au consommateur, sans transformation et Écolo. »

Quant au rendement de ces galets, il est supérieur de 50% à celui de glaçons traditionnels. Ces cailloux polis restent ainsi froids durant une quinzaine de minutes. Ils permettent aussi d’économiser l’électricité – jusqu’à ¾ d’énergie utilisée en moins que pour les glaçons traditionnels-, le congélateur n’étant enclenché que le temps de refroidir les galets, sans avoir à les maintenir constamment gelés comme on est obligé de le faire pour les stocks de glaçons.

A noter encore que l’élaboration de ce procédé ne se contente pas d’entrer dans le cadre du développement durable.
Elle ouvre aussi une collaboration avec les ateliers protégés, dont les membres trient les cailloux, comme cela se fait à la
FOVAHM (la fondation valaisanne en faveur des personnes avec une déficience intellectuelle).